Visite au village

Pour cause de maison bien remplie en ces vacances scolaires je ne prends connaissance des dernières nouvelles que maintenant !
Que d'aventures ! quel bizutage pour ta collègue Pascale !
Du bien, du très chouette, du plus difficile.... vous allez encore rentrer avec plein de questionnements !!! mais quelles expériences ! et surtout un voyage hyper nécessaire en terme de relation...
Bisous et bon retour

la mère Noël a écrit:

On donne à chaque enfant une moustiquaire, sa photo et une brosse à dents, le tout à ramener chez lui (une autre brosse à dents restera dans la classe). Chacun défile, l’un après l’autre, prend son précieux cadeau, joint les mains et ajoute un « Ökône », soit « Merci ». Ils se mélangeaient ensuite un peu les paquets, mais comme il y avait la photo à l’intérieur, facile de retrouver l’enfant correspondant au paquet.

Quel moment !

la prèze qui fait la timide a écrit:

De là à discuter du ténia avec lui, par mime, je pense que c’eût été un peu complexe.

Rhôôô Pascalou, tu manques d'imagination !


Merci pour ce morceau de voyage Pascale, c'est toujours émouvant de découvrir vos actions concrètes... Ca me motive, à distance !

Je reprends le fil du compte rendu pour y apporter quelques images et éventuelles infos.

Premier jour, arrivée, première soirée au village pour Claudine et moi.

JC vient nous chercher avec une super surprise, la petite Sekunthéa. C'est dire la confiance que ses parents font à JC.


Les rues sont dans un état épouvantable. La photo est floue, le tuk-tuk saute dans tous les sens.


Les enfants nous rejoignent vite pour jouer.


Lundi matin,
on se réveille avec une pluie diluvienne.


La pluie s'arrête, les enfants partent pour l'école. Smi, Pav et Chi sont nickels dans leur uniforme


JC attaque les photos pour le trombinoscope avec l'aide de Claudine pendant que je vais discuter avec Théa.


Attroupement des enfants curieux de ce mini studio improvisé.


Les travaux de la bibliothèque redémarrent


Les activités de la maternelle reprennent


Les gamines se retrouvent pendant la récré


Avant le repas, nettoyage de toutes les mains. L'eau courante est sur le point d'arriver à l'école, ils attendent seulement que les travaux soient finis




Le repas s'organise dans la salle de classe. Les enfants s'assoient sur les nattes et attendent tranquillement leur bol.


Au menu, riz et quelques légumes


Une grande gamelle, beaucoup d'eau, un peu de verdure


Les enfants mangent dans le calme

Genial, que de souvenirs

Merci Pascale

Super ! on voit là vraiment la vie de l'école et du village.... photos très vivantes et évocatrices !
On a toujours envie d'en savoir plus...

J'aime les couleurs et l'ambiance qui se dégagent de la salle de classe !
Merci pour vos retours imagés, c'est un peu du Cambodge qui revient ici...

Arf, sorry Pascalou, j'peux pas m'en empêcher :

Citation :

Les rues sont dans un état épouvantable. La photo est floue, le tuk-tuk saute dans tous les sens.

Non la photo n'est pas floue, c'est juste que tu as fait la netteté sur la chemise du driver de tuk-tuk et que ta profondeur de champ est courte !

Basse moquerie mise-à-part, merci beaucoup pour le retour en images, un vrai bonheur !

Pit a écrit:

Arf, sorry Pascalou, j'peux pas m'en empêcher :

Citation :

Les rues sont dans un état épouvantable. La photo est floue, le tuk-tuk saute dans tous les sens.

Non la photo n'est pas floue, c'est juste que tu as fait la netteté sur la chemise du driver de tuk-tuk et que ta profondeur de champ est courte !

Basse moquerie mise-à-part, merci beaucoup pour le retour en images, un vrai bonheur !

T'es pardonné, Pit mais il fallait bien que je trouve une raison vaseuse au flou
En fait, j'ai rien fait, c'est l'appareil qu'a voulu faire tout seul

Je continue bientôt la mise en image.

Elle est rigolote celle ci

En fait il faut que je vous apporte une petite précision :

Sur le trombinoscope les petits paraissent extrêmement sérieux et pour cause : avec l'aide de l'institutrice j'ai essayé de les faire sourire tout en leur demandant de garder la bouche fermée. 95% des petits ont les dents ravagées par les sucreries qu’ils avalent dès le réveil (c'est pourquoi il y a urgence en terme d'hygiène dentaire)

La différence en image :

Salut JC,

Superbes les photos envoyées par email

Le problème de l'hygiène dentaire a déjà été soulevé par toi même, lors de la dernière AG. Je crois aussi, qu'il devient important de se soucier et de réfléchir collectivement sur la manière dont l'association pourrait accompagner les gamins.

Bravo pour votre travail , à Pascale et toi, encore une fois.

Waouh de waouh... C'est terrible ce que vous faites...

Yann a écrit:

Le problème de l'hygiène dentaire a déjà été soulevé par toi même, lors de la dernière AG. Je crois aussi, qu'il devient important de se soucier et de réfléchir collectivement sur la manière dont l'association pourrait accompagner les gamins.

Ce qui est curieux, c'est qu'il semble qu'il n'y ait que les dents de lait qui soient affectées par ce problème. La presque totalité des petits a des dents dans un piteux état, alors que les plus grands ont des dents en général plus saine.

A ce propos, on en a discuté avec Saran. D'après lui, c'est principalement lié à un problème d'hygiène dentaire et de sucrerie et non à une carence.

C'est pourquoi on a acheté des brosses à dents et du dentifrice. Chaque enfants est reparti chez lui avec sa propre brosse à dents, et une autre reste à l'école. Les institutrices leur font laver après chaque repas (en théorie).
C'est un des points à voir lors des prochains passages. Qu'en est-il des brosses à dents distribuées, sont elles utilisées ?
Et pendant que j'y pense, les moustiquaires achetées pour la classe sont-elles mises en place pour les siestes des petits ?

Saran nous a dit qu'un dentiste ambulant allait bientôt pouvoir intervenir dans son village à lui, à Khol. Il aura tout un matériel avec lui qui lui permettra de donner des soins.
Dès que ce dentiste entrera en action, il est prévu qu'il nous prévienne pour qu'on voit si on peut le faire intervenir à Trapaing Anchanh.

Citation :

Ce qui est curieux, c'est qu'il semble qu'il n'y ait que les dents de lait qui soient affectées par ce problème.

C'est très souvent le cas c'est vrai. Je ne connais pas la raison... Email plus fragile ?
Mais dans tous les cas, l'éducation à l'hygiène est une affaire à mettre en route dès le plus jeune âge...

Après-midi, réunion des parents, souriants et attentifs. Inquiets aussi quant à l'avenir de cette petite classe. Combien de temps pourra t'on financer ?
J'explique, Théa traduit.




En fin d'après-midi, petit tour habituel à la pagode située à 10mn en moto.


Ils nous montrent avec fierté leur trésor.




Nouvelle soirée avec nos copains.


Cours de flûte à des élèves dynamiques.


Mardi.
Petite visite à la cabane.


vers 9 heures, Saran, Sameth et un de leurs amis médecin viennent nous voir pour discuter de l'organisation de la visite médicale. Longue discussion intéressante, mais il est préférable de trouver un médecin du district.


Paroles de bon sens et de connaisseurs des complexités khmères


On décide de trouver un médecin plus proche.
Saran et Sameth nous invitent à déjeuner à Khol. Il pleut et on prend les petits chemins de traverse sous une jolie pluie. Claudine et JC en scoot, la prèze en voiture, normal.

Saran nous fait visiter les lieux pour nous montrer tous les changements depuis l'an passé. La bibliothèque, la récupération d'eau, le dispensaire...
On retrouve ensuite Long et Lay, les filleuls de Nicole et Claudie, et des Mérono. Distribution des cadeaux.
On voit enfin leur visage s'illuminer.


Guylaine et Méjo avaient envoyé une photo.


Et on déjeune tous ensemble, arrosé d'un petit blanc offert par notre hôtesse de l'air sur le Paris/Moscou. JC se rappelle du nom, c'est le bled à côté de chez lui.
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Retour ensuite par les mêmes petits chemins qu'à l'aller où on s'est franchement paumé. On a dû mettre une heure de plus. Heureusement, Saran nous avait donné l'itinéraire écrit en khmer.
[url=https://servimg.com/view/11184443/1116]

Le soir, on repart du village pour aller dîner chez Théa. La route est à peine un peu moins mouillée.


Bière, poulet, viande... Théa et sa femme ont mis les petits plats dans les grands.


Le pro fait les réglages de l'ancien appareil photo de la prèze qui est maintenant celui de Théa.


Pendant ce temps, Madame Théa est aux fourneaux.


Le retour sera épique. Entre les bières descendues et l'eau abondante de la route, cela finira quand mêmeavec Claudine les 4 fers en l'air et le cul dans l'eau. Elle était pourtant sur la moto du chef.

Encore, encore !!!

Génial, merci Pascale !!!

Heureusement que tu avais ton appareil photo pour ramener de tels souvenirs.

L'année prochaine j'emmene en plus un petit APN

Moi je suis comme Pitou, j'en redemande !!

On a l'impression d' y avoir été, hein ?

Y'a déjà le photographe du mois... on ne pourrait pas rajouter "le reporter du mois" ????

Contente de faire connaissance avec Mme Théa...

oh yes, super bagus les photos avec commentaires !

Mercredi
Le matin, réveil avec des sourires dans la rue.


A l'école, les jeux reprennent.


Les choses sérieuses aussi. Ils sont 80 par classe et seulement une demie-journée de cours par jour.


On laisse travailler en paix pour faire un petit tour au marché, lieu toujours magique et coloré.


Les visages sont souvent rayonnants, toujours attachants.

Pendant que JC retourne à son projet photos, on va avec claudine acheter les Kramas, commander les moustiquaires et regarder les nattes.


Puis M Chin vient nous chercher pour aller porter directement deux moustiquaires dans une des familles du village. La rue montre le niveau de vie d'un bon nombre d'habitants de la population.


La famille vit dans une maison plus que sommaire. Juste quelques tôles sur une ossature bois.


On n'avait pas pu organiser les visites médicales avec Saran, on a donc contacté un médecin exerçant dans le district. Il ne parle ni anglais, ni français, mais on a un interprête Khmer/anglais parfait. Pas très simple, mais ça va le faire.
On prend donc rendez-vous pour la semaine d'après.

Puis l'heure du repas a sonné pour les petits.


Quant à M Chin, il attaque une partie endiablée de "Puissance 4". C'est fou le succés que peut avoir ce jeu.


Pendant ce temps, c'est l'heure de la sieste à la maternelle. Il faut donc installer les fameuses moustiquaires. Avec les enfants complétement excités, c'est quelque chose ! Ils rentrent, sortent, passent dessous, les font tomber...


Il faudra l'instit, Mme Chin, Claudine, JC et moi pour en venir à bout.


M Chin ? toujours au même endroit. Il s'est trouvé un pote pour continuer ses parties.


On les laisse jouer pour faire un petit plein d'essence et faire un petit tour à la pagode.


On nous offre le café, le thé. Bonne papote avec le chef de la pagode qui tente de nous apprendre le khmer.


Le soir, les enfants nous attendent toujours avec la même impatience. Claudine tente de fabriquer un chien ? un éléphant ? avec les ballons.


Ce qui est sûr, c'est qu'ils sont contents. Entre les ballons, colin Maillard et 1-2-3 Soleil, on n'arrête pas.

J'dis rien, mais je suis...

Boudha qui boit du seven up, j'avais oublié...

Pit, si tu "es" c'est que tu penses ? yessss !

Jeudi.
Triste jour pour JC, il quitte le village. La famille Chin et les copines sont là pour lui faire la bise.

mais comme il reviendra, ce ne sont pas des adieux.

On part ensemble à Phnom Penh. Impression bizarre de se retrouver dans la grande ville après le village.
Pour Claudine qui n'est jamais venue en Asie et donc au Cambodge, on retourne au camp S21, ce lycée transformé en camps de tortures. On ne peut connaître le pays d'aujourd'hui sans se pencher sur ce qui s'est passé hier. Des visages restent gravés dans les mémoires.


Petit tour au musée national, au marché. Le vendredi matin, JC reprend son avion, et nous, on se dépêche de retourner au village. Il nous manque déjà.
Les travaux de la bibliothèque avancent à grands pas.


M Chin vient nous chercher pour rencontrer les familles qui ont pu avoir accés au micro crédit. Pour chaque personne, une fiche très claire avec ce qui est emprunté et ce qui reste encore à rembourser. Les sommes vont de 50 à 300 $. Les intérêts de 3% vont directement dans les caisses de la maternelle pour améliorer les repas des enfants. Pour les parents, double raison de se réjouir.
La pemière personne rencontrée vend des beignets au marché, et elle a pu s'acheter son stand avec l'argent du crédit.


La deuxième a pu acheter un stock de viande qui lui permet de vendre aussi sur le marché. C'est plusieurs petits commerces de ce genre qui ont pu naître.


Vient ensuite une famille qui a pu améliorer son petit resto en achetant un peu de mobilier.


C'est en parcourant les rues du village avec M Chin qu'on prend davantage conscience de l'état de pauvreté des gens. De l'eau partout, les maisons insalubres, les gosses qui boivent l'eau des fossés.




A chaque arrêt, M Chin me montre les documents référents à la familles que l'on visite. Partout, de grands sourires nous accueillent.


Une des familles nous a particulièrement marqué. Ils sont agriculteurs et cultivent une parcelle de riz juste derrière le village. Ils voulaient nous inviter plus longuement chez eux, mais l'impossibilité de communiquer a raccourci la visite. Ces gens, pas sûre que cela se voit sur la photo, sont d'une chaleur incroyable et on ne peut s'empêcher d'avoir une grande empatie pour eux. On est retourné plusieurs fois les voir, et la femme est venue voir comment on vivait à la cabane. A ma prochaine visite, j'essayerai d'en savoir un peu plus sur eux, de les connaître davantage.


Une autre famille rencontrée avec M Chin, vous la connaissez. C'est la famille de Srey Mum qui fabrique des colliers.
D'autres personnes ont eu accés au micro crédit pour faire réparer une moto, pour en acheter une au fils qui va étudier à Phnom Pehn...


Le jour où on a pris la décision de participer au micro crédit en prêtant le capital, on était attablé en AG à Marseille, bien installé. On ne pouvait alors imaginer les retombées positives de cette décision sur ces familles et sur la classe de maternelle.

Madame la Présidente de l'association T'aiDer pour l'ASE a écrit:

Le jour où on a pris la décision de participer au micro crédit en prêtant le capital, on était attablé en AG à Marseille, bien installé. On ne pouvait alors imaginer les retombées positives de cette décision sur ces familles et sur la classe de maternelle

Je me souviens que le micro-crédit avait longuement fait débat lors de l'AG à Marseille ! Force est de constater que ce jour là nous avons pris LA bonne décision, on ne peut que s'en réjouir !

Une nouvelle fois, merci et bravo Pascale pour ce super compte rendu, que dis-je, ce super reportage !!!

Comme quoi c'est dans le débat autour d'une table qu'on avance

On pouvait effectivement craindre que cela ne se retourne contre Théa ou M Chin. Les affaires d'argent ne sont jamais simples. Mais Théa montre une transparence parfaite au niveau de la somme prêtée et force est de constater qu'il gère parfaitement les 1000 $.
Je crois que les gens du village ont une totale confiance en lui... et nous aussi.

De magnifiques photos, je me régale !!!

Merci Valérie. Bientôt, ces visages te seront familiers.

Le soir, on donne l'appareil photo aux gamins et ce sont eux qui prennent les photos.








Le lendemain, petit tour à l'école. Première chose, faire une photo de classe avec tous les enfants qui sont tous excités. On fera ensuite un agrandissement de cette photo qu'on remettra à l'institutrice.


Puis on remet à chaque enfant son petit colis : une moustiquaire pour chez lui, son portrait et une brosse à dent aussi pour chez lui.


Chaque enfant vient à son tour et ça prend un bon petit moment.


A 9 heures, le médecin arrive pour démarrer la visite médicale. Deux chaises, deux tables, des abaisse-langue et le stéthoscope. On peut démarrer. Les petits pleurent, on les calme rapidement et ils prennent confiance.


L'institutrice a très bien organisé les choses. Les petits viennent deux par deux attendre leur tour avec leur feuille individualisée.


Le médecin examine et note. Dans la majorité des cas, les enfants ont une maladie chronique ou aigüe. Rhinite, amygdalite, gastro...


Pendant ce temps, les autres enfants jouent tranquillement.

Coïncidence, le même jour, le gros camion de PSE vient faire aussi les visites médicales, mais pour les enfants de primaire seulement. Le camion est d'ailleurs tellement gros qu'ils l'esquintent en passant le portail de l'école. La moto de notre médecin passait nettement mieux.


Ils sont super bien équipés. Pas deux chaises et deux tables, mais tout le matériel pour faire un réel examen médical. Pas sûr qu'on fasse la même chose un jour pour les petits, mais ce qu'on a fait est déjà un bon début. Les parents savent au moins les affections qui touchent leurs enfants, même si cela ne résout pas le problème pour les soigner.




Pendant ce temps, on retourne voir une des femmes qui avaient pu avoir un micro crédit et qui était absente la veille. Elle a acheté une machine pour faire du jus de canne.


On goûte. Très sucré mais hyper bon.


On voulait aller faire un saut à la pagode, mais evidemment, on a une panne de batterie. Théa nous rejoint et essaye de voir où est le problème. On va chez le réparateur en face de chez nous. Il veut changer la batterie, on lui dit que c'est peut-être plus simple de la recharger avec des pinces. On appelle le propriétaire qui nous dit qu'il est logique que la batterie pète, celles qu'ils mettent sont de très mauvaises qualité. Il faudrait la changer mais à nos frais grrrrrrrrrrrrr !!! Déjà qu'on lui a refait à neuf l'avant du scooter. Pendant que tous les hommes de la rue oscultent l'engin et donnent leur avis, la gamine joue avec un crabe en laisse.
Finalement, on redémarre le scooter avec des pinces et il marche nickel.


Mais Théa est obligé de nous quitter, le camion de PSE est totalement embourbé et ne peut plus sortir de la cours de l'école. Ici, le problème serait simple, on irait chercher un tracteur, là bas, les choses se font avec l'energie et les bras des hommes. Théa est écroulé de rire : les ennuis sont à la hauteur des moyens des assos qui sont là pour les aider.
Conclusion, restons petit, on évitera les gros emmerdes.

Notre prèze philosophe a écrit:

Conclusion, restons petit, on évitera les gros emmerdes

"Quel plaisir de voir les choses avancer aussi bien et quel bonheur de lire ce compte-rendu !"

C'est pô moi qui le dit, c'est madame Pit !

Merci à Madame Pit à qui je fais d'énormes gros bisous !!!!!

Bien d'accord avec madame Pit !!!
(que je salut au passage )

Citation :

Conclusion, restons petit, on évitera les gros emmerdes.

Comme Cécile, j'admire ton côté pragmatique !!